venture kick dresse son bilan
26.09.2012
Plus de 9 millions de francs versés à 247 projets de start-up issus des hautes écoles suisses et générant quelque 1600 emplois: le bilan tiré par l'initiative venture kick pour ses 5 premières années d'existence est éloquent. Soutenue par des fondations privées et une entreprise, venture kick souligne avoir permis à ses bénéficiaires de générer 300 millions de francs en volumes de financement.
![]() venture kick a bénéficié à l'économie suisse dans son ensemble lors de ses 5 premières années d'existence.
|
![]() |
5 ans, cela se fête. venture kick a profité de son anniversaire pour souligner, une nouvelle fois, son importance pour la scène entrepreneuriale suisse. Finançant des projets de start-up innovants avec un montant de pré-amorçage allant jusqu'à 130'000 francs, venture kick a dressé un bilan plus que positif de ses premières années d'activité. Près de 250 projets ont ainsi bénéficié de ses largesses, au bénéfice de l'économie suisse dans son ensemble.
Les start-up qui ont pu naître grâce à ce coup de pouce financier initial, accordé à fonds perdus, ont en effet créé quelque 1600 emplois hautement qualifiés, en majorité occupés par des diplômés, doctorants et chercheurs des hautes écoles suisses (EPF, universités cantonales et hautes écoles spécialisées). Ces entreprises ont ensuite pu s'attirer l'attention et le financement d'autres investisseurs, issus généralement du capital-risque, pour un montant total de 300 millions de francs. La valorisation de ces sociétés dépasse le seuil du milliard, estime venture kick.
Comme le martèle l'initiative privée, les futurs entrepreneurs suisses ne manquent pas d'idées, mais d'un capital de départ et d'un soutien pour leur permettre de faire leurs premiers pas. Afin d’accélérer le développement de projets novateurs, venture kick a été lancé par des donateurs privé il y a cinq ans. Le fonds va été initié par les fondations Gebert Rüf et Ernst Göhner, rejointes ensuite par les fondations OPO-Stiftung et AVINA. La Fondation Lombard Odier ainsi que Debiopharm Group, première entreprise privée à soutenir venture kick, sont depuis venues ajouter leur contribution et expertise au projet. L'Institut für Jungunternehmen (IFJ), également en charge du pilotage de venturelab, assure la gestion opérationnelle.
Le gala anniversaire des cinq ans célébrant le succès de l'initiative aura lieu le 26 septembre au «Härterei Club» à Zurich. L’évènement a été précédé d’une table ronde pour les médias sur le thème du soutien aux start-up suisses, en comparaison internationale.
Doubler les créations d’entreprises dans les universités
Chaque mois, huit projets de start-up ont l’opportunité de se présenter devant un jury. Les quatre projets les plus prometteurs reçoivent 10'000 francs et se qualifient automatiquement pour la seconde étape qui a lieu trois mois plus tard, à l'issue de laquelle les deux meilleures équipes reçoivent 20'000 francs. Ces dernières ont alors 6 mois avant de se présenter devant le jury final, le vainqueur recevant alors 100'000 francs. Chaque année, ce sont ainsi plus de 2 millions de francs qui sont investis à fonds perdus dans environ 50 projets de startup. L’objectif est de doubler le nombre de spin-off et d’accélerer le création et la croissance des entreprises, en rendant les start-up plus attrayantes pour les investisseurs dès les premières étapes.
Les start-up qui ont pu naître grâce à ce coup de pouce financier initial, accordé à fonds perdus, ont en effet créé quelque 1600 emplois hautement qualifiés, en majorité occupés par des diplômés, doctorants et chercheurs des hautes écoles suisses (EPF, universités cantonales et hautes écoles spécialisées). Ces entreprises ont ensuite pu s'attirer l'attention et le financement d'autres investisseurs, issus généralement du capital-risque, pour un montant total de 300 millions de francs. La valorisation de ces sociétés dépasse le seuil du milliard, estime venture kick.
Comme le martèle l'initiative privée, les futurs entrepreneurs suisses ne manquent pas d'idées, mais d'un capital de départ et d'un soutien pour leur permettre de faire leurs premiers pas. Afin d’accélérer le développement de projets novateurs, venture kick a été lancé par des donateurs privé il y a cinq ans. Le fonds va été initié par les fondations Gebert Rüf et Ernst Göhner, rejointes ensuite par les fondations OPO-Stiftung et AVINA. La Fondation Lombard Odier ainsi que Debiopharm Group, première entreprise privée à soutenir venture kick, sont depuis venues ajouter leur contribution et expertise au projet. L'Institut für Jungunternehmen (IFJ), également en charge du pilotage de venturelab, assure la gestion opérationnelle.
Le gala anniversaire des cinq ans célébrant le succès de l'initiative aura lieu le 26 septembre au «Härterei Club» à Zurich. L’évènement a été précédé d’une table ronde pour les médias sur le thème du soutien aux start-up suisses, en comparaison internationale.
Doubler les créations d’entreprises dans les universités
Chaque mois, huit projets de start-up ont l’opportunité de se présenter devant un jury. Les quatre projets les plus prometteurs reçoivent 10'000 francs et se qualifient automatiquement pour la seconde étape qui a lieu trois mois plus tard, à l'issue de laquelle les deux meilleures équipes reçoivent 20'000 francs. Ces dernières ont alors 6 mois avant de se présenter devant le jury final, le vainqueur recevant alors 100'000 francs. Chaque année, ce sont ainsi plus de 2 millions de francs qui sont investis à fonds perdus dans environ 50 projets de startup. L’objectif est de doubler le nombre de spin-off et d’accélerer le création et la croissance des entreprises, en rendant les start-up plus attrayantes pour les investisseurs dès les premières étapes.