Bilan à succès pour venture kick
07.02.2013
En conclusion à ses 5 premières années d’existence, l’initiative venture kick a publié des chiffres prouvant son succès. Sur les 1'111 postulants à avoir tenté leur chance de remporter un financement de pré-amorçage, 251 ont été soutenus pour un montant total de 9,4 millions de francs, dont 194 ont effectivement lancé une start-up et ont créé 2006 emplois. La quantité va de pair avec la qualité : de toutes les jeunes sociétés recensées dans le classement TOP 100, 57 sont des «venture kickers».
![]() Plus de 2000 nouveaux emplois créés en 5 ans: joli palmarès pour venture kick!
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L’ensemble des statistiques dévoilées dans le dernier rapport annuel de venture kick illustre parfaitement les retombées de ce programme, fruit de donateurs privés, pour l’économie suisse. Non seulement les sociétés soutenues ont créé de nouveaux emplois hautement qualifiés, mais elles ont réussi à convaincre par la suite des investisseurs professionnels. Toutes sociétés confondues, les «venture kickers» ont généré quelque 365 millions de francs de financement additionnel (financement propre, business angels, capital-risqueurs, prix, projets CTI…)
D’une manière globale, chaque franc investi par venture kick a permis d’engranger 39 francs de financement additionnel. Preuve que le soutien et la confrontation avec le jury de venture kick engendrent des retombées positives pour les start-up bénéficiaires, lesquelles sont bien perçues par les investisseurs.
«Ces résultats dépassent nos attentes», relève Beat Schillig, directeur opérationnel de venture kick. «Il y a encore une année à peine, le volume de financement généré par les start-up que nous soutenus s’élevait à 250 millions de francs. Depuis, nous avons mis la barre encore plus haut et comptons sur le fait que, d’ici la fin 2015, le montant de 1 milliard soit atteint.»
La moitié des projets provient de l’ETHZ et de l’EPFL
En 2012, l’initiative venture kick a réalisé une nouvelle fois une année prolifique. Quelque 218 projets ont postulé pour obtenir le soutien de venture kick, soit environ 20 par mois, provenant à 60% de Suisse alémanique et 40% de Suisse romande. 49% de l’ensemble des projets proviennent de futurs entrepreneurs issus de l’ETHZ et de l’EPFL, le solde venant de 20 universités cantonales ou hautes écoles spécialisées, ce qui montre bien l’implantation de venture kick sur l’ensemble du territoire académique suisse.
En analysant plus en avant les projets soutenus, les chiffres montrent que tous les segments de la haute technologie sont représentés, avec une prépondérance pour le domaine des technologies de l’information et de la communication, suivi par le secteurs électronique/mécanique, puis par les medtech, les biotech et les cleantech. Quelques projets, minoritaires, ne sont pas attribués à un secteur spécifique, du fait de leur caractère interdisciplinaire et de leur diversité.
Enfin, 16% des soumissions ont été le fait de femmes. C’est peu, mais c’est remarquable si l’on considère la proportion faible de femmes parmi les étudiants doctorants, assistants ou professeurs dans les hautes écoles suisses, ainsi que dans les sociétés high-tech. Ce chiffre encourage les initiateurs de venture kick de continuer leurs efforts en matière de promotion des femmes comme futures entrepreneures.
D’une manière globale, chaque franc investi par venture kick a permis d’engranger 39 francs de financement additionnel. Preuve que le soutien et la confrontation avec le jury de venture kick engendrent des retombées positives pour les start-up bénéficiaires, lesquelles sont bien perçues par les investisseurs.
«Ces résultats dépassent nos attentes», relève Beat Schillig, directeur opérationnel de venture kick. «Il y a encore une année à peine, le volume de financement généré par les start-up que nous soutenus s’élevait à 250 millions de francs. Depuis, nous avons mis la barre encore plus haut et comptons sur le fait que, d’ici la fin 2015, le montant de 1 milliard soit atteint.»
La moitié des projets provient de l’ETHZ et de l’EPFL
En 2012, l’initiative venture kick a réalisé une nouvelle fois une année prolifique. Quelque 218 projets ont postulé pour obtenir le soutien de venture kick, soit environ 20 par mois, provenant à 60% de Suisse alémanique et 40% de Suisse romande. 49% de l’ensemble des projets proviennent de futurs entrepreneurs issus de l’ETHZ et de l’EPFL, le solde venant de 20 universités cantonales ou hautes écoles spécialisées, ce qui montre bien l’implantation de venture kick sur l’ensemble du territoire académique suisse.
En analysant plus en avant les projets soutenus, les chiffres montrent que tous les segments de la haute technologie sont représentés, avec une prépondérance pour le domaine des technologies de l’information et de la communication, suivi par le secteurs électronique/mécanique, puis par les medtech, les biotech et les cleantech. Quelques projets, minoritaires, ne sont pas attribués à un secteur spécifique, du fait de leur caractère interdisciplinaire et de leur diversité.
Enfin, 16% des soumissions ont été le fait de femmes. C’est peu, mais c’est remarquable si l’on considère la proportion faible de femmes parmi les étudiants doctorants, assistants ou professeurs dans les hautes écoles suisses, ainsi que dans les sociétés high-tech. Ce chiffre encourage les initiateurs de venture kick de continuer leurs efforts en matière de promotion des femmes comme futures entrepreneures.