1,75 million de francs pour Climeworks
23.12.2011
Le spin-off de l'ETHZ annonce une levée de fonds série A dépassant la barre symbolique du million de francs. Ce montant servira au développement et à la mise sur le marché des solutions de la société zurichoise capables de capturer le CO2 de l'air ambiant.
![]() Les dirigeants de Climeworks: Christoph Gebald et Jan Wurzbacher (cofondateurs) et le COO Dominique Kronenberg
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Certaines sociétés n'en finissent plus d'enregistrer de bonnes nouvelles. Climeworks est de celles-là. Juste avant Noël, l'entreprise zurichoise a annoncé avoir réussi à boucler un important tour de table auprès d'investisseurs privés et de la Banque cantonale de Zurich. Ce financement s'ajoute à d'autres sources de financement déjà sécurisées par Climeworks en 2011, comme le pilotage du projet Eureka-Eurostars doté de près de 2 millions d'euros, ou encore le développement de ses produits soutenus par un consortium réunissant l'ETHZ, l'Empa et la Fondation Gebert Rüf.
Le piégeur du dioxyde de carbone
Basée à Zurich, Climeworks a développé un système extrêmement performant de capture du dioxyde de carbone (CO2) dans l'air ambiant. Non seulement sa technologie est capable de débarrasser l'air atmosphérique des particules de gaz à effet de serre, mais elle permet de fournir du dioxyde de carbone pur utilisable dans de nombreuses applications "vertes", comme le traitement des eaux usées ou pour accélérer la croissance des plantations.
Fondé par des anciens participants à des formations venturelab et soutenu par venture kick, ce spin-off de l'ETHZ a aussi annoncé il y a quelques semaines figurer parmi les 11 finalistes du Virgin Earth Challenge, une initiative lancée par Richard Branson et dotée de quelque 25 millions de dollars. La société a été récemment sélectionnée dans le classement TOP100 Swiss startups, paru en 2011.
Le piégeur du dioxyde de carbone
Basée à Zurich, Climeworks a développé un système extrêmement performant de capture du dioxyde de carbone (CO2) dans l'air ambiant. Non seulement sa technologie est capable de débarrasser l'air atmosphérique des particules de gaz à effet de serre, mais elle permet de fournir du dioxyde de carbone pur utilisable dans de nombreuses applications "vertes", comme le traitement des eaux usées ou pour accélérer la croissance des plantations.
Fondé par des anciens participants à des formations venturelab et soutenu par venture kick, ce spin-off de l'ETHZ a aussi annoncé il y a quelques semaines figurer parmi les 11 finalistes du Virgin Earth Challenge, une initiative lancée par Richard Branson et dotée de quelque 25 millions de dollars. La société a été récemment sélectionnée dans le classement TOP100 Swiss startups, paru en 2011.